À L’Institut Lumière, le Festival des Cinémas du Sud ouvre de nouveaux horizons
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Mercredi 25 avril 2018 marque le début du Festival des Cinémas du Sud, organisé par l’Institut Lumière, du mercredi 25 avril 2018 au samedi 28 avril 2018, à l’Institut Lumière, sous le parrainage de Costa-Gavras.
Ainsi, 9 films seront présentés au public, représentant 8 pays, l’Algérie, l’Égypte, Israël, le Liban, le Maroc, la Palestine, la Syrie, et la Tunisie.
La présentation et l’animation des séances sont confiées à Abdellah Zerguine, directeur artistique de Regard Sud, et Michel Amarger, journaliste critique cinéma Média France.

La séance d’ouverture a lieu le 25 avril à 20h00, avec un film de Moha Haj, « PERSONAL AFFAIRS », (Israël-Palestine), en sa présence, qui est une comédie autour d’une famille palestinienne.

Le jeudi 26 avril 2018, aura lieu la soirée spéciale « 50 ans du cinéma tunisien », avec 2 films présentés consécutivement, « MUSTAFAZ » avec Nidahl Chatta, 24 heures de la vie d’un Tuninien ordinaire entre système et famille, à 19h00, suivi par « WHISPERING SANDS » de Nacer Khemir, le parcours d’une femme canadienne d’origine arabe dans ce désert.

Le vendredi 27 avril sera l’occasion de découvrir « A MEMORY IN KHAKI », documentaire d’Alfoz Tanjour, le cri du coeur et de l’esprit en proie à l’oppression du régime syrien. À 16H30.

À 19h00, en présence de son auteur, Mohammed Hammad, « WHITHERED GREEN », l’histoire d’une jeune famme traditionnelle et conservatrice ayant dû s’occuper de sa soeur cadette, demandée en mariage, et qui doit gérer cette nouvelle situation dans une société patriarcale.

La soirée s’achèvera avec « VOLUBILIS » de Faouzi Bensaïd, l’amour fou entre un vigile et une employée de maison, à 21h00.

Le dernier jour du festival, samedi 28 avril, débute avec « ATLAL » de et en présence de Djamel Kerkar, l’après-décennie noire des années 1990 dans un village algérien à travers la mémoire meurtrie de ses habitants. À 14h45.

À 17h30, le public verra « ONE OF THESE DAYS », de et en présence de Nadim Tabet, une journée d’automne à Beyrouth, au bord du chaos, mais qui laisse 3 jeunes de 17 à 22 ans avec des interrogations de leur âge, le sexe, l’amour, la nuit.

Le programme complet se trouve ici.

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